« Nous prendrons connaissance du rapport, mais d’ores et déjà nous sommes déçus que le BAPE se ferme ainsi à un projet visionnaire et avantageux à l’ensemble des Québécois d’aujourd’hui et de demain. Ne risquons pas de passer à côté, ne manquons pas le… train ! », a proclamé Yves-Thomas Dorval, président-directeur général du CPQ.
Outre son envergure sans précédent, le CPQ tient à rappeler toute la valeur et la grande cohérence de ce plan de 5,9 milliards de dollars, surtout dans le contexte où le Québec cherche à relancer l’économie de la province et de sa métropole. D’ailleurs, outre le fait d’améliorer les services de transports collectifs aux populations et resserrer le tissu urbain, ce projet prend encore plus son sens alors que le gouvernement du Québec s’apprête à opérer une transition énergétique plus sobre en carbone notamment dans le secteur des transports, en valorisant davantage le recours à l’électrification.
« Nous invitons le gouvernement du Québec à mesurer à leur juste valeur les recommandations présentées par le BAPE, dont certaines feront possiblement œuvre utile pour améliorer des éléments perfectibles du projet, mais à se distancer de ses conclusions outrancièrement sombres, dont avons du mal à nous expliquer les raisons », de conclure, M. Dorval.
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Regroupant plusieurs des plus grandes entreprises du Québec, le Conseil du patronat du Québec réunit aussi la vaste majorité des associations patronales sectorielles, ce qui en fait la seule confédération patronale du Québec. Il représente directement et indirectement plus de 70 000 employeurs de toutes tailles, tant du secteur privé que public, ayant des activités au Québec.
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