Cette synthèse et les consultations qui s’en suivront complèteront les analyses nécessaires avant le dépôt de la politique énergétique. Le Québec, nous l’espérons, pourra alors enfin disposer d’un cadre législatif et réglementaire clair, cohérent et prévisible pour une exploitation responsable et durable de son potentiel en matière d’énergie.
« En ce sens, la démarche gouvernementale basée sur la transparence, la cohérence et les connaissances scientifiques est à saluer », commente Yves-Thomas Dorval, président-directeur général du CPQ. « Il est important que l’on puisse discuter de façon sereine et constructive de cette question cruciale pour notre prospérité. Le CPQ participera avec enthousiasme aux consultations à venir sur cette étude », conclut-il.
Rappelons que l’écart de richesse entre le Québec et le reste du Canada est d’environ 58 milliards de dollars. Il faut bien accueillir les projets qui peuvent contribuer à combler cet écart.
Il est à noter finalement que l’engagement du gouvernement à réduire ses émissions de GES et à réduire notre dépendance au pétrole n’est pas en contradiction avec le développement de nos ressources. Les hydrocarbures continueront d’occuper une place importante dans le bilan énergétique et économique du Québec pour plusieurs années. Il est souhaitable de produire ici l’énergie dont le Québec a besoin (y compris pour la transformation) au lieu de l’importer.
* * *
Regroupant plusieurs des plus grandes entreprises du Québec, le Conseil du patronat du Québec réunit aussi la vaste majorité des associations patronales sectorielles, ce qui en fait la seule confédération patronale du Québec. Il représente directement et indirectement plus de 75 000 employeurs de toutes tailles, tant du secteur privé que public, ayant des activités au Québec.
-30-
Renseignements et entrevues :
Benjamin Laplatte
Directeur principal – Affaires publiques et développement corporatif
Cell. : 438.886.9804
514.288.5161 (poste 235)
[email protected]