On reconnaît la prospérité quand on la vit.
La prospérité doit être la résultante de toutes les actions entreprises et les moyens utilisés pour permettre le plein épanouissement des personnes et de notre société. L’individualisme n’a jamais servi la prospérité : l’individu, oui, tant qu’il l’a fait en portant son regard vers l’intérêt commun. Et si l’engagement était le pilier de la prospérité?
La philanthropie offre à chaque personne et à chaque entreprise qui composent notre société l’occasion de choisir une cause et d’y contribuer. Individuellement et collectivement, nous avons cette responsabilité sociale. Le geste de donner doit être enseigné très tôt : donner, c’est aimer aider!
La philanthropie est la première roue du carrosse de la prospérité. Elle rassemble des gens soucieux du bien commun et pallie le manque de ressources de l’État, de la communauté et des individus. À titre d’exemple, en réadaptation, nos collectes de fonds permettent de soutenir l’enseignement, la recherche, le développement de technologies de pointe, l’innovation et une solide expertise exportable. Quotidiennement, notre contribution à la réadaptation va beaucoup plus loin : elle permet à des personnes gravement blessées de retrouver une autonomie et, ainsi, continuer à contribuer à la prospérité.
La philanthropie est une industrie à part entière dans le paysage économique du Québec. Tout comme dans l’entreprise privée, pour y réussir, nous avons besoin des meilleures ressources, et pour s’y démarquer il faut sans cesse innover. L’apport financier de la philanthropie à la prospérité du Québec doit être considéré et valorisé. Qui plus est, n’est-ce pas un modèle organisationnel probant de ce qu’il faut faire collectivement pour retrouver la prospérité?
Le Québec atteindra l’apogée de sa prospérité quand chaque personne, chaque entreprise et chaque organisation qui le composent vivront l’apogée de leur propre engagement.