Nos entreprises font face à des défis colossaux, notamment sur les plans de la recherche et de l’innovation. Une fois ces défis relevés, cependant, le travail ne fait que commencer, puisque la capacité à traduire l’innovation en applications concrètes est la frontière ultime qui se dresse devant la réussite.
Dans la foulée de cette analogie douanière, des centaines d’entreprises savent déjà que l’ÉTS peut les aider à obtenir le passeport qui leur permettra de franchir cette ligne. Ce passeport : la mission même de l’École, Le génie pour l’industrie.
Près de 60 % de nos activités de recherche sont réalisées en collaboration avec l’industrie. De plus, avec 37 regroupements de chercheurs et 26 chaires de recherche, l’ÉTS est devenue un acteur majeur de la recherche et développement au Québec.
Et les projets de recherche aux retombées positives pour le Québec abondent.
Quelques exemples? Qui ne se réjouira pas de savoir que le professeur de génie de la construction Michel Vaillancourt et son équipe travaillent à la création d’enrobés bitumineux incorporant du verre post-consommation, un projet susceptible d’avoir un impact positif sur deux problématiques, soit l’amélioration de nos routes et la réutilisation des centaines de milliers de tonnes de verre que le Québec produit chaque année?
De même, comment ne pas saluer le travail de l’équipe de la Chaire industrielle Pomerleau dirigée par le professeur Daniel Forgues, dont l’objectif est d’aider l’industrie de la construction à rattraper son retard dans la modernisation de ses pratiques, notamment par la recherche et le développement de nouvelles pratiques basées sur des plateformes technologiques en émergence.
Que dire aussi des travaux de Mohamed Cheriet, professeur de génie de la production automatisée et titulaire de la Chaire de recherche ÉTS d’informatique en nuage communautaire et applications intelligentes, des domaines on ne peut plus d’actualité? Ou encore, de ceux du professeur de génie mécanique Mohammad Jahazi, qui se penche sur la problématique de la miseen forme des alliages à haute résistance mécanique.
L’intérêt du travail du professeur spécialisé en acoustique Jérémie Voix sur la conception de bouchons d’oreilles intelligents pour améliorer la protection auditive en milieu de travail est tout aussi considérable, comme l’est la mise au point, par la professeure de génie mécanique Sophie Lerouge, d’un biogel injectable pour livrer des agents anticancer directement dans les tumeurs cancéreuses.
Le génie pour l’industrie à l’ÉTS, c’est ça : des solutions réelles à des problématiques concrètes, pour le plus grand bien du Québec et de son économie!