« Nous sommes aujourd’hui face à un projet d’une envergure historique pour le Québec, en harmonie avec la vision d’un développement économique durable et qui offre l’ambition de positionner avantageusement le Québec et sa métropole à travers le monde, ainsi que parmi les grandes villes les plus innovantes, en disposant du 3e réseau d’un tel genre après Dubaï et Vancouver ! Cela frappe l’imaginaire et cela fait longtemps que le Québec avait vu pareille ambition », affirme Yves-Thomas Dorval, président-directeur général du CPQ.
Pour le CPQ, outre leur envergure sans précédent, il faut reconnaître toute la valeur et la grande cohérence du projet tel que présenté par la CDPQ dans le contexte où le Québec cherche à :
- relancer l’économie de la province et de sa métropole;
- améliorer les services de transports collectifs aux populations et resserrer le tissu urbain;
- organiser une transition énergétique plus sobre en carbone dans le transport et l’aménagement du territoire, en plus de valoriser le recours à l’électrification.
Pour toutes ces raisons, il importe au CPQ que les deux paliers de gouvernement s’offrent comme partenaires d’exception, notamment du côté fédéral qui compte accentuer ses investissements dans les infrastructures au cours des prochaines années.
La CDPQ avait dit ce qu’elle ferait, et elle fait ce qu’elle avait dit!
On se souviendra que l’adoption du projet de loi 38 visait à permettre la réalisation d’infrastructures par la Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ) afin de pouvoir compter sur le développement rapide de nouveaux services de transports collectifs, attrayants et mieux adaptés aux besoins des populations de la ville de Montréal et de ses couronnes.
L’entente conclue avec le gouvernement du Québec devait également permettre d’obtenir des rendements stables et prévisibles pour les déposants de la CDPQ, tout en contribuant au développement économique, répondant ainsi parfaitement à sa mission.
L’annonce d’aujourd’hui donne tout son sens et sa légitimité à cette démarche appuyée par le CPQ l’an passé, puisque le modèle d’affaires retenu visait à favoriser la réalisation de projets majeurs d’infrastructures publiques, tout en limitant les impacts sur les finances publiques.
Un engouement qui se doit d’être collectif et constructif!
Le CPQ encourage désormais toutes les parties prenantes de ce projet majeur à participer aux consultations qui les concerneront au cours des prochains mois, en appréciant les opportunités extraordinaires qu’il représente, autant du point de vue économique, social, qu’environnemental.
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Regroupant plusieurs des plus grandes entreprises du Québec, le Conseil du patronat du Québec réunit aussi la vaste majorité des associations patronales sectorielles, ce qui en fait la seule confédération patronale du Québec. Il représente directement et indirectement plus de 70 000 employeurs de toutes tailles, tant du secteur privé que public, ayant des activités au Québec.
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Camilla Sironi
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