Dans une décision(1) rendue en juillet dernier, le Tribunal administratif du travail (le TAT) s’est penché sur l’équilibre qui, à l’occasion d’une ronde de négociations pour le renouvellement d’une convention collective, doit exister entre, d’une part, le devoir de non-ingérence de l’employeur et, d’autre part, son droit à la libre expression.
Quels sont les faits dans cette affaire? Quelles conclusions ont été tirées? Ce qu’il faut retenir pour la communauté patronale au Québec?
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Par Michèle Giguère
Notes en bas de page
- Syndicat des travailleurs des pâtes et papiers de Windsor Inc. (CSN) c. Domtar Inc., Usine de Windsor, 2020 QCTAT 3043. À noter que le 11 septembre 2020, le syndicat a présenté une demande de révision interne à l’encontre de cette décision du 23 juillet 2020, et ce, suivant l’article 49 (3) de la Loi instituant le Tribunal administratif du travail. Nous vous tiendrons informés de tous développements à cet égard.
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