Gouvernance Agile : Comment rendre la complexité accessible?

Contextuellement, nous vivons dans un monde globalisé où la compétition peut venir de partout. Les outils TI (Technologies de l’Information) doivent donc s’aligner sur les processus de l’entreprise. Pourtant, nombre d’organisations ne parviennent pas à suivre, gérer ou exécuter leurs plans stratégiques ne disposant pas d’une solution malléable, multidimensionnelle, pouvant à la fois gérer le court-terme et le long-terme, tout en grandissant au fur et à mesure des besoins des managers, afin que le besoin d’affaire guide l’usage de la technologie utilisée et non l’inverse. Le défi est grand car nous sommessubmergés par 4 complexités : celle du monde qui nous entoure, notre complexité en interne, nos interactions entre l’interne et l’externe et celle de milliers d’outils possibles pouvant être intégrés dans notre structure qui en compte déjà bien souvent des dizaines ou centaines. Tout cela sans aucune gouvernance transversale ou globale.

Et c’est ici tout l’intérêt de la Gouvernance Agile : se laisser guider par une vue d’ensemble de nos activités pour prendre des décisions éclairées. En tant que dirigeants, nous devons répondre à de multiples questions liées à la pérennité de nos organisations. Et nous devons communiquer et expliquer les décisions prises. Comment le faire si nous ne savons pas collectivement qui nous sommes, où nous sommes et dans quelles directions nous devons aller ?

Alors, existerait-il des solutions faciles à mettre en place et à utiliser, dans des délais rapides et à faibles coûts, se fondant dans le moule de notre organisation ?

Depuis quelques années, nous voyons l’émergence d’un nouveau type de solutions plus sûres qui semble être le meilleur compromis pour affronter l’incertitude de notre monde et ses changements importants : les AGL(ateliers génie-logiciel) ou AGP (ateliers génie-progiciel) qui ne demandent aucune compétence informatique et permettent dans des temps très courts de créer ses propres applications en y intégrant ses processus. Les directions n’ont donc plus besoin de faire de longs cahiers de charges et attendre longtemps une solution temporaire. Ces systèmes adaptables rapidement permettent à la fois de construire dès aujourd’hui et de répondre aux besoins futurs, pour créer progressivement son mouton à 7 pattes qui sera la réalité automatisée de l’évolution de l’entreprise.

En conclusion, la première phase de responsabilité d’une organisation devrait être de choisir des systèmes agiles pour développer la coopération transversale. Cette mise en place progressive d’une solution qui cherche les chiffres diamants liés à la globalisation des informations permettra de créer une organisation basée sur des données structurées et structurantes, condition incontournable pour aller vers le Big Data / Smart Data, puis imaginer par la créativité et enfin prédire par l’intelligence analytique.

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